Nous vous avions déjà présenté le fil de l’histoire de notre Association pour la Sauvegarde des Bois de Ballens et environs, mais nous nous étions arrêtés dans notre description à fin octobre 2024.
Nous l’avons mis à jour, et nous allons le faire désormais beaucoup plus régulièrement.
En effet, il est primordial que nos membres soient au courant du nombre incroyable de démarches engagées, de séances passées au niveau du comité ou des groupes de travail.
Vous pouvez trouver cet historique de nos actions ici et plus tard, en passant par le menu suivant de notre écran d’accueil:

Même si cela peut paraître manquer un tantinet de modestie de le mettre en avant ici, nous sommes fiers du travail mis en œuvre et de son efficacité.
L’ASBBE est désormais un protagoniste considéré par le Canton de Vaud, la Commune de Ballens, les ONG et les entreprises concernées par cette gravière que nous ne voulons pas.
Et encore, nous ne pouvons pas tout dire des procédures que nous mettons en place, pour des raisons de stratégie, et pour garder quelques coups d’avance quand ce sera le moment de les dévoiler.
Ce n’est pourtant pas l’envie qui manque de vous en parler ici…
Cela étant, pour avancer, nous avons besoin de fonds, et c’est grâce à vous, chères et chers membres de l’ASBBE, que nous pouvons continuer à avancer.
Le 1er mars 2025, nous sommes 250 membres, c’est déjà magnifique, mais nous devons être beaucoup plus nombreux encore!
Si nous sommes toutes et tous bénévoles au comité de l’ABBE, organiser des conférences, imprimer des informations pour la population, et mettre en œuvre des procédures juridiques dans un futur proche, tout cela coûte et coûtera beaucoup d’argent.
N’oublions pas que la mise à l’enquête concernant cette gravière est annoncée pour la fin 2025, le temps presse!
Parlez de notre action dans votre entourage, montrez à quel point vous êtes, comme nous, scandalisés par la destruction d’une forêt, alors que nous vivons une période ou chaque arbre a une fonction essentielle!
Les communes l’ont bien compris: elles reboisent de leur côté en plantant, dix, cent, parfois mille arbres pour les plus grandes d’entre elles, alors que le Canton de Vaud est prêt à en abattre des dizaines de milliers et à creuser un sol forestier incroyablement riche sur plusieurs dizaines de mètres, mettant en danger tout un écosystème et les ressources en eau de notre région, ceci pour satisfaire l’économie du béton.
Tout cela à l’heure où des alternatives à ce matériau existent et sont tout à fait efficaces, nous ne cessons de l’expliquer, notamment ici.
Nous vous remercions du fond du cœur, toutes et tous, pour votre soutien dans ce combat qui concerne une région, certes, mais bien au-delà également, vous l’avez bien compris.